Nom : Potter

Prénom : James

Date de naissance : 27 mars 1960

Année : 5ème année

Maison : Gryffondor

Poste : Poursuiveur chez les rouges et ors

Description Physique (Avatar : Milo Ventimiglia) : En regardant James Potter, la première chose que l’on pourra constater chez lui, sont en aucun doute ses indomptables cheveux noirs. Il semble tout bonnement impossible de les coiffer. Combien de peignes a-t-il du jeter jusque là ? Sans doute assez pour établir un record du monde. Il a donc depuis longtemps renoncé à tenter un semblant de coiffure et laissent ses cheveux à leur guise. C’est une tare héréditaire longtemps transmise chez les Potter. Et que diable, c'est la classe d'avoir tout le temps l'air de descendre d'un balai. Il s’agit là même d’une caractéristique qui fait de lui un des êtres les plus charmants de la gente masculine, se plaît-il à penser. Il passe et repasse éternellement sa main dans sa tignasse pour paraître encore plus décoiffé qu’il ne l’est habituellement. L'intérêt de la chose reste encore à trouver, cela va sans dire. Outre ses cheveux tout droit sortis d'une publicité extrême pour gel cheveux extrême, on pourra prendre note de ses lunettes. Malgré toute la classe et l'élégance incontestable de l'adolescent, c'est un binoclard, ben oui. Le genre de lunettes bien rondes au goût carrément douteux. Mais aucune importance, les binocles seront tendance puisque sa Majesté le dit. Derrière ses majestueuses binocles de rat de bibliothèque, ses yeux de couleur noisette quelconque (mais qu'importe, précisons-le quand même pour avoir l'impression que cette catégorie n'est pas complètement inutile) pétillent de malice et d'une lueur diabolique (pour ceux qui arrivent à lire le langage des yeux à travers deux bêtes globes oculaires). Son visage aux traits angéliques ne cache plus rien tant son penchant pour les coups foireux n'est plus un secret. Et malgré le fait qu'il pratique intensément le Quidditch, il garde un aspect quelque peu gringalet (soigneusement dissimulé par les épais uniformes scolaires) dont héritera sa progéniture.

Votre petite enfance : James Potter naquit à Godric's Hollow un jour de 1960 dans le cottage des Potters. Fils unique de sorciers d'un certain âge, il fut constamment couvé par ses parents qui le considéraient comme un cadeau tardif de la vie. Ce qui fut incontestablement l'origine de son caractère égocentrique et quelque pourri gâté. Quoique éduqué comme un parfait mini gentleman, on pourrait se demander si Poudlard n'avait pas affectées ses bonnes manières. Déjà petit, mini James était un enfant des plus turbulents, il passa le plus clair de son enfance à faire les quatre cents coups, Habitude qui ne changea pas le moins du monde à Poudlard.
Vivant à Godric's Hollow, lieu où fut inventé le vif d'or, il était pré-destiné à être obsédé par le sport de brutes qu'était le Quidditch. Mioche, il parcourait gaiement les ruelles du village à bord de son mini balai Vroum Vroum 2000 qui ne volait pas plus haut que trente centimètres. Avant même qu'il ait eu l'occasion d'apprendre à lire, sa chambre s'était retrouvée envahi par des montagnes et des montagnes de Quidditch magazines, des images de divers joueurs de Quidditch avaient fait main basse sur les murs et on ne pouvait plus y entrer sans se faire attaquer par un cognard qui traînait.
Après onze années de vécu à Godric's Hollow, d'incendies plus ou moins accidentels et environ quarante-sept chats traumatisés à vie, mini James reçut sa lettre tant attendue de Poudlard peu avant la rentrée scolaire comme la tradition l'exige. Il rejoignit l’école de sorcellerie avec l’enthousiasme qui était commun à tous les gamins de son âge. La première fois qu’il vit Poudlard, il songea à tous les bons moments qu’il passerait par la suite. La première fois que Poudlard le vit, on se dit que le château ne serait pas calme tous les jours avec lui.

Vos années à Poudlard : James fit la connaissance de Sirius, Remus et Peter au cours de sa première année à Poudlard. Il se lia rapidement d'amitié avec eux, et ensemble ils enchaînèrent coups foireux sur coups foireux, réunissant à eux quatre autant de retenues que l’ensemble des élèves de leur promotion dès les premiers jours si bien que le corps professoral renonça rapidement à leur inculquer la notion de règlement. Ce ne fut que lors de leur deuxième année que James, Sirius et Peter découvrirent la lycanthropie de Remus. Futurs héros au grand coeur qu'ils étaient, ils soutinrent leur compère et commencèrent à étudier de près son cas. James se plaisait à mentionner la lycanthropie de son ami sous le terme de « petit problème de fourrure ». Si bien que les autres élèves crurent rapidement qu’il avait un lapin bien mal élevé. Plus tard, il eut recours à un moyen assez extrême pour aider Remus et en vint à travailler la métamorphose activement (d'où ses étonnants résultats dans cette matière). Ce ne fut qu’au bout de plusieurs années qu’ils parvinrent à maîtriser leur forme d’animagus et ce, au bout prix d’immenses efforts. Le souvenir de bois difformes restés trois jours sur sa tête (humaine) restait encore assez poignant dans l’esprit de James qui se regardait désormais assez fréquemment dans le miroir après chaque fin de transformation histoire de vérifier que ses bois avaient bels et bien disparus. Son surnom devint alors rapidement Cornedrue bien qu’il persiste souvent à dire que ses bois étaient des bois et non des cornes. Après cet exploit pour un sorcier de premier cycle, il semblait évident que les escapades nocturnes (et totalement illégales cela va sans dire) allaient se faire plus fréquentes qu'elles ne l'étaient déjà.

Outre la récolte hebdomadaire de retenues, il développa au fil des années une certaine aversion pour les élèves de Serpentard plus par principe qu'autre chose. Sa façon déplaisante et quelque peu cruelle d'humilier ces derniers ne lui valut, certes, pas que de bonnes remarques, mais c'est qu'ils le lui rendaient bien. Tout particulièrement Servilus, sa victime officielle et désignée. C'était une manie, il ne pouvait tout simplement pas s'empêcher de lui causer des crasses dès la chevelure grasse de Servilus en vue. Et puis c'était réciproque alors quelle importance. C'était tellement drôle de s'en prendre à plusieurs sur un innocent élève, pourquoi s'en priver ? Sans compter que les engueulades avec la préfète de Gryffondor qui s'en suivait contribuait grandement à son aversion pour Severus. C'était tout bonnement une attitude qu'il ne pouvait pas comprendre. Merlin, mais pourquoi n'était-elle pas écroulée de rire devant son humour débordant et admirative devant ses pieds divins comme l'était la grande majorité sans cervelle de Poudlard ?

La fameuse préfète de Gryffondor avait très certainelent une de ces manies de le rendre complètement marteau. C’est-à-dire que depuis la première année, ce n’était pas toujours la grande joie, voyez-vous. Lors de sa première année, il s’était simplement dit qu’elle était un peu trop sérieuse. Lors de sa deuxième année, elle était devenue « la rouquine qui gueulait un peu trop fort ». Lors de sa troisième année elle était devenue « ‘tin Evans… fous-moi la paix… j’ai (encore) rien fait… ». Et lors de sa quatrième année, elle était devenue la rouquine la plus intéressante de la planète. Que s’était-il passé d’une année à une autre ? Eh bien voyez-vous, quand il fut enfin devenu en âge de s’intéresser à la gente féminine, il remarqua bien vite l’effet assez conséquent qu’il pouvait avoir sur ses camarades de sexe féminin. Bon pas sur toutes, hein ? N’exagérons rien. Chaque membre de l’espèce féminine ne se pâmait pas non plus sur son passage, m’enfin, il avait tout de même une certaine emprise sur une bonne partie de cette population. Et évidemment, n’en faisait pas partie Lily Evans. A la différence qu’elle, contrairement à d’autres qui auraient simplement pu l’ignorer, elle lui hurlait littéralement dessus pour un ‘oui’ ou pour un ‘non’. Des fois qu’il aurait voulu lui emprunter une simple plume, il n’était pas sûr qu’elle aurait réagi autrement. Non vraiment… il ne voyait pas du tout le pourquoi du comment… ce n’est pas vraiment comme s’il faisait quoi que ce soit pour l’embêter… était-ce sa faute si elle ne voyait en lui qu’un amoncellement de défauts sans fin ? Elle pouvait au moins lui laisser le bénéfice du doute, nan ? Bon… admettons… il avait un tout petit peu la tête enflée. Mais au moins, il avait de quoi l’être. Et précisons-le, sa manie de se passer la main dans les cheveux n'était exaspérante, mais tout à fait charmante, ça va sans dire. Beaucoup de filles trouvaient ça mignon. Et puis au fond, il était sûr qu’elle l’aimait bien. Elle ne s’en rendait pas compte, c’est tout.

Il n'avait pas toujours été un crétin super égocentrique, hein ? C'était juste... les hormones et tout ça. Et les hormones, voilà. Malgré son attitude qui remettait profondément en cause son niveau intellectuel, et le fait qu'il était loin d'être un élève modèle, il n'en restait pas moins que ses résultats scolaires n'en pâtissaient pas. Certes, il avait passé la moitié de ses cinq années de cours à dormir et l'autre à chahuter avec Sirius. N'empêche, que ses parents n'avaient encore jamais eu à le réprimander sur ses bulletins de notes, à défaut d'autres conneries. Si Remus prenait régulièrement les cours, James, à défaut de notes écrites, notait « mentalement » voilà. Inutile de vous dire qu’il devait ensuite supplier son ami de daigner lui prêter ses notes. Mais ce n'était qu'un détail. Et c'était évident qu'il travaillait même s'il faisait semblant que non. Réputation exige quoi… Si Snivellus excellait dans le domaine des potions (à son plus grand dégoût d’ailleurs) lui maîtrisait parfaitement bien la métamorphose : on est pas animagus à quinze ans pour rien. Mais le chemin vers l'excellence était encore long pour Mr Potter...

Et voilà qu’il s’apprêtait à entamer une cinquième année à Poudlard : blagues puériles et stupides au rendez-vous, un peu plus de claques typiques de la rouquine et un peu plus de Snivellus la tête dans la cuvette…

Caractère : James Potter est un Gryffondor. Quoi de plus normal donc que d'être courageux et loyal ? Ou en d'autres termes, avec plus de muscles que de tête. On pourra dire ce que l'on veut, mais le gamin ne manque pas de volonté. James Potter est une véritable tête de mule. Une fois qu’il s’est fixé un objectif, difficile de le faire lâcher prise. Irréfléchi, il n’agit plus qu’il ne pense. Ses actions sont basées sur son instinct plus que sur de la réflexion, pour le grand malheur de tous. Pour se mettre dans le pétrin, il a un talent inouï. Parce que ‘Potter’ et ‘problème’ sont couramment deux mots scellés ensemble. Non pas qu’il soit particulièrement stupide. Il est même particulièrement intelligent. Un peu trop pour tout dire. Si bien qu’il n’utilise que rarement cette qualité à bon escient. De cette intelligence inné, de son physique qu’il sait avantageux, on peut dire que ses chevilles en sont extrêmement enflées (mais des jolies chevilles quand même, hein ?). Un ego démesuré, une insolence qui l’est tout autant, voilà qui le caractérise au mieux. Bien qu’en réalité, cette couche de superficialité entrave son caractère réellement sympathique et joyeux, il ne peut tout simplement pas s’empêcher de faire le pitre. Immaturité ? Certes. Mais après tout, il n’avait que quinze ans. Et la vie devant lui pour être sérieux. Alors pourquoi trop se casser la tête ? Quant à cette manie d’enfreindre chaque petite règle s’opposant à lui, elle a de quoi faire hérisser les cheveux sur la tête. Il est parfois si exaspérant… et pourtant à chaque remontrance, on ne peut que rire devant l’air parfaitement angélique qu’il arbore. Ou pas.

Passions & Hobbies & Intérêts & Autres : Assez jeune, il s’était découvert une véritable passion pour ce sport typiquement sorcier. Il bénissait littéralement le Quidditch. Et d’ailleurs… s’il y avait bien une chose qu’il ne pouvait pas comprendre chez les moldus, c’était comment pouvaient-ils oser souiller cet objet divin qu’était le balai en le transférant à un vulgaire rôle d’objet ménager. Il prenait tout simplement cela comme un sacrilège. Non mais c’est vrai quoi… enfin bref. Aussi faisait-il parti de l’équipe de Quidditch de Gryffondor depuis plusieurs années déjà. Il y occupait un des trois postes de poursuiveurs [et non d’attrapeur…] et en était évidemment plus que fier. Son balai dernier cri était régulièrement ciré et lustré comme pour prouver qu’il méritait bel et bien ce poste et que son balai était le plus impeccable de tous. Il était d’ailleurs assez étonnant de voir que c’était un des seuls objets dont il prenait régulièrement soin en voyant son sens du rangement.

"Plus t'feras quoi ?" : Plus tard n'entre pas en compte pour James Potter. Difficile de savoir quoi faire de son avenir à quinze ans. Mais à vue de nez, sans doute Auror de la mort qui tue ou poursuiveur dans l'équipe d'Angleterre. Quoiqu'il fasse, il est persuadé de prendre l'express vers la réussite.

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