Nom : Carter
Prénom : Victoria (Vicky, pour les intimes)
Date de naissance : Le 14 mai 1959
Année : Sixième année
Maison : Poufsouffle
Poste : //
Description Physique (avatar : Hannah Murray) : Je suis contre les préjugés(eh oui), aussi dirais-je sans hésitation que les blondes ne sont pas toutes légèrement arriérées (voire complètement), cependant, cela n’exclut pas le fait que certaines blondes le soient... En tous cas, Victoria est blonde... et possède bien des caractéristiques qui correspondent parfaitement... eh bien... aux blondes, ou à l'image qu'on s'en fait, en tous cas. Ses cheveux sont assez long, et tombent au moins jusqu'au dessous de ses omoplates (si elle en prenait davantage soin et qu'ils n'étaient pas constamment emmêlés, sans doute descendraient-ils plus bas encore, mais c'était une perspective que Vicky n'avait jamais vraiment envisagé). Ne prenant jamais grand soin de sa chevelure, donc, celle-ci part un peu dans tous les sens (pour ne pas dire que c'est vraiment le bordel, là dedans, j'vous dit pas les noeuds).

A l'inverse, ses sourcils sont très foncés, et renforcent ainsi la protubérance de ses yeux marrons foncé, et globuleux, qui ont sans cesse l’air surpris... Car oui, s'il y a bien une chose qui distingue Victoria plus que toute autre (physiquement, du moins), ce sont ses yeux. Ils ont l'air étrangement plus grands que la normale, peut-être parce qu'elle a une fâcheuse tendance à les écarquiller sans arrêt. Ses yeux sont le reflet même de ses pensées, et il est difficile pour elle de cacher quoi que ce soit aux autres car tous ses sentiments se reflètent dans son regard (enfin, ce n'était pas comme si elle cherchait à cacher quoi que ce soit, non plus). Elle n’est pas très grande, mais sa silhouette est très fine, de telle sorte qu'elle a des allures de brindilles un peu fragile, encore renforcées par son teint extrêmement pâlot. Sa peau est en effet diaphane, son visage, aux traits fins, n'y fait pas exception.

Son excentricité ne s’arrêtant pas à son seul caractère, on la retrouve dans les tenues vestimentaires de la jeune fille. Ses vêtements, c'est comme si elle n'était pas capable de les porter dans le sens où ils sont sensés être portés, souvent de travers, ou carrément à l'envers. C'est bien simple, même quand elle porte son uniforme scolaire, plus personne n'a l'impression qu'il s'agisse vraiment d'un uniforme scolaire. Grande adepte des accessoires en tous genres, elle adore agrémenter ses vêtements de broches, colliers, pin's et autres... souvent très moches, ce n'est pas comme si elle avait vraiment beaucoup de goût. De même, sa tête est souvent recouverte de barrettes (en forme de carottes), bandeaux, et autres... ça pourrait être un style, une sorte de mode, mais pour cela, il faudrait qu'elle ait un sens de l'harmonie un peu plus développé... et ce n'est absolument pas le cas, elle est la meilleure pour associer les couleurs les moins associables qui soient... Bref, pour le style ,on repassera.

Votre petite enfance :

Victoria Carter. Fille de ses parents, petite fille de ses grands parents, arrière petite fille de ses arrière grands parents...Hum.passons. Donc, Victoria est née à Londres, au sein d'une famille de sorciers érudits. Son père était un “inventeur” qui à vrai dire, ne gagnait vraiment pas bien sa vie, il fallait dire que, même s'il était convaincu de posséder un talent inné pour inventer des choses, il passait le plus clair de son temps à comater devant son carnet de croquis tout en mâchouillant son crayon... Il n'avait, à la connaissance de Vicky, jamais rien inventé qui ait véritablement marché. La plupart de ses inventions, si ingénieuses se voulaient-elles être, finissaient irrémédiablement par se casser la figure. C'était le karma. On peut rien contre le karma. Et pourtant, Arrold Carter avait une foi inébranlable en ses capacités (profondément enfouies), et demeurait convaincu qu’il trouvera un jour “la chose” qui changerait le cours du monde de la sorcellerie. Sa mère elle, savait à peu près tout de toutes les potions qui peuvent exister de par le monde, et elle s'était donné pour vocation d'apprendre les bases de la confection des potions à des jeunes sorciers pas encore en âge d’aller à Poudard, et c’était son salaire qui permettait de subvenir aux besoins de la famille.

Tout comme son père, sa mère aimait créer, et passait le plus clair de son temps à essayer d’inventer de nouveaux sorts et de nouvelles potions, elle avait d’ailleurs transmis cette passion à sa fille, qui dans son coin, essayait elle aussi de bidouiller de nouvelles choses... Mais ma foi, elle avait dû hériter de son père à la fois la conviction inébranlable qu'un résultat viendrait un jour, et l'incapacité effective d'arriver à un tel résultat . Dans sa famille, on croyait de génération en génération à l'existence de toutes ces choses que tout le monde sorcier mettait en doute, aussi, Vicky suivit le mouvement et se mit également à croire à ces choses que même les sorciers trouvaient impossibles... C'était une bonne philosophie de vie, après tout, puisque pour elle, au final, le monde n'avait pas vraiment de limites autres que celles de son imagination (car elle était assez tordue pour croire en ce que pondait sa propre imagination). Elle pouvait voir, sentir, vivre des choses que les autres ne pouvaient même pas concevoir... En somme pour Victoria, c'était la belle vie...

Oui, Victoria avait toujours été très spéciale, et d'ailleurs, elle était loin de s'en cacher, elle ventait à qui voulait l'entendre ses origines où montrait l’invention du mois de son père à qui cela pouvait intéresser (peu de gens en somme), quand elle passa ses études primaires auprès de sorciers de son âge dans une école privée de Londres, une réputation exécrable la précédait déjà, Victoria n'avait pas le moindre ami mais ne semblait guère s'en soucier, elle assumait les moqueries et la solitude sans jamais une seule fois se plaindre de son sort, elle se disait qu'ils étaient tout simplement ignorants, les autres, seule elle savait vraiment reconnaître les choses importantes. Victoria n’avait ni frère, ni soeur, et la présence de quelqu’un avec elle lui avait toujours manqué, comme elle n’était pas parvenu à se faire des amis, elle demeurait souvent seule, et les amis imaginaires avaient suivi naturellement. Elle se sentait si bien dans le monde qu'elle s'était créé pour elle-même qu'elle n'avait plus besoin de personne pour s'amuser, s'occuper et être heureuse. Sa tendance à s’enfermer dans tous ces univers incroyables fabriqués sur mesure pour elle s'intensifiait de jour en jour, elle ne cherchait plus la présence de personne, sans doute parce qu’elle s’était inventé de ces amis que personne ne pouvait voir et à qui personne à part elle ne pouvait parler, et qui étaient tous bien plus gentils, exceptionnels et compréhensifs que n'importe qui de réel.

Ses parents avaient beau avoir un état d’esprit similaire à celui de leur fille, ils s’inquiétaient de la voir toujours sans amis, et espéraient que son entrée à Poudlard, l’école de sorcellerie où eux-mêmes avaient fait leurs études, l’aiderait à être davantage entourée. Deux mois après ses onze ans, elle reçut en effet sa lettre d’admission à poudlard, et ce fut donc la baguette collée derrière l'oreille, une écharpe rose fushia par dessus son uniforme noir et chaussée de bottines en forme de souris poilues (autant d'éléments qui ne devaient pas jouer en sa faveur) qu'elle se dirigea vers le choixpeau magique l'année de ses onze ans et fut admise à Poufsouffle...

Vos années à Poudlard :

Malheureusement pour ses parents, son arrivée à Poudlard n'avait pas changé grand chose, et elle ne s'était pas vraiment fait de nouveaux amis, bien au contraire, elle avait réussi à avoir en un temps record la réputation de folldingue (certes justifiée) qui devait la poursuivre jusqu’à la fin de sa scolarité. Les gens se moquaient d'elle, une fois de plus, parce qu'il était très facile de trouver matière à se moquer d'elle, il faut bien l'admettre, et Victoria acceptait docilement les horribles surnoms dont on avait fini par l'affubler, immunisée contre toute forme de quolibet depuis l'école maternelle. On la traitait souvent de débile profonde ou de blonde sans cervelle, et pourtant, ce n'était pas tout à fait le cas non plus. En cours, il s’avérait qu’elle comprenait et assimilait les choses assez facilement. Malgré cela, elle restait le cauchemar de ses professeurs, car son comportement excentrique l'amenait souvent à agir très bizarrement, et en totale contradiction avec ce qu'elle semblait avoir pourtant réussi à comprendre. Oui Vicky savait avoir des connaissances justes, l’ennui c’est qu’elle ne les partageait jamais avec personne.

Ses années à Poudlard se déroulèrent à peu près comme sa primaire, personne ne voulait lui parler, et elle avait acquis tant de surnoms désagréables qu’il lui était impossible de tous les retenir... Mais il y avait une toute petite différence, cela dit. Vicky se sentait plus à l'aise à Poudlard qu'elle ne l'avait jamais été nulle part ailleurs, au point qu'elle se décidait à accorder à autrui plus d'intérêt qu'autrefois... les personnes qui voulaient bien lui accorder de la sympathie (à moins que ce ne soit de la pitié), Vicky le leur rendait au centuple. Et ceux qui préféraient tout simplement l'ignorer... Eh bien, Victoria avait la fâcheuse tendance à s'agripper à eux, et à leur offrir toute l'amitié dont ils ne voulaient pas. C'était notamment le cas de Sean, que Vicky qualifiait de meilleur ami sans avoir jamais consulté le principal concerné, qui en vérité ne la considèrait que comme un horrible parasite obsédé par les carottes. Incroyable mais vrai, Victoria s'était tout de même fait une amie, Alice Anderson... Enfin, disons qu'Alice acceptait de trainer avec elle, surtout parce qu'elle y était contrainte et forcée. Et si on en venait au plus surprenant? Eh bien, Vicky a un petit ami, depuis un an maintenant (sisi)... Petit ami voulant ici dire "on se tient la main en complétant les inépties de l'autre et en plantant des carottes dans la même direction". Surprenant? Pas tant que ça, au fond, quand on sait qu'il s'agit de Xenophilius Lovegood, l'autre taré de Poudlard, ces deux-là ne pouvaient que s'entendre, et si Victoria ne voulait pas finir vieille fille entourée d'une tripotée de chats roses à pois verts, il fallait bien qu'un jour, elle finisse avec un type pareil. Autrement? Rien à ajouter. Elle entre en sixième année, et voilà.

Autre : (facultatif) Ronflak?

Caractère :

Vicky est une jeune fille excentrique, son comportement est spontané et incompréhensible (et c’est peu de le dire), jamais vous ne pourrez savoir ce qui se trame dans la tête de cette chère Victoria (et croyez-moi, c’est tant mieux) , elle est absolument imprévisible, elle peut à tout moment être prise d'un fou-rire immense pour une simple blague, ou encore demeurer sans la moindre réaction ou avoir l'air absente dans des situations alarmantes. Elle semble avoir une échelle d’importance différente de celle des autres, et rejoint très rarement l’opinion publique. Cependant, elle défend toujours ses idées, aussi saugrenues soient-elles avec beaucoup de foi et d’énergie. Vicky est malgré tout une fille courageuse et qui ne manque pas d'intelligence Vicky aime tout ce qui a trait au paranormal, même pour les sorciers, elle aime lire toutes ces histoires à dormir debout et aime qu’on lui en raconte, particulièrement crédule, elle est prête à croire absolument tout ce qu’on lui raconte, du moment que ça sort de l’ordinaire.

C’est sans doute ce trait de sa personnalité qui accentua la rêverie qui lui est familière, toujours la tête dans les nuages, l’esprit ailleurs, il est difficile de distinguer les moments où Vicky est dans la réalité ou si elle est partie faire un petit voyage dans son monde. Victoria aime beaucoup les animaux (existants ou non, elle s’en moque bien), mis à part les lapins, car, peu de gens le savent, mais les lapins (qui plus est malins) sont incontestablement des créatures plus hostiles que tout le monde le suppose, avec leurs p’tites papattes et leur gros nez tout rose.

Elle apprécie également les personnes qui s'adressent à elle sans la regarder de travers (et il y en a peu), cependant, très sociable (ou du moins, n’ayant pas peur d’aller vers les autres), et ne possède pas la moindre once de timidité, elle dit tout ce qu'elle a envie de dire, fait tout ce qu'elle a envie de faire, et se fiche pas mal des conséquences, elle ne craint pas les moqueries et laisse les remarques acerbes là où elles se trouvent sans s’en soucier. Elle parait faire preuve d’une stratégie toute particulière quand il s’agit d'aborder les sujets douloureux, elle en parle toujours avec indifférence, comme si le sujet traité était le plus banal du monde.

Elle est excessivement maladroite, mais son caractère rêveur n’y est sans aucun doute pour rien, de même que son étourderie et sa tendance à tout oublier un peu n’importe où. Elle est loin d’être maniaque, et on aura connu des coins de chambres mille fois mieux rangés que le sien.. Ce qu'elle n'aime pas? L'injustice, le manque de respect des autres, même si elle n’en souffre pas outre mesure que les gens lui en manque, elle n'aime pas les lapins malins et les épinards...

Passions & Hobbies & Intérêts & Autres : Victoria est... quelqu'un de passionné, mais toujours à court terme. Elle a ses périodes, dirons nous, sa période "schtroumpf", sa période "saut à la corde", sa période "chocolat blanc"... Quand elle se trouve une chose pour laquelle se passionner, elle ne fait pas les choses à moitié, et vire au comportement obsessionnel, mais heureusement, ses passions sont souvent fugitives, et plus personne n'en entend rapidement parler. Sauf quand il s'agit du jardinage. L'ambition de Victoria, c'est d'ouvrir un club de jardinage à Poudlard, afin de planter des carottes - transgéniques, pour tuer les lapins. Elle aime également collectionner les épluchures d'oignons et chantonner bêtement en sautillant comme une gamine de trois ans. Chacun son truc.
"Plus t'feras quoi ?" : Inventeur, comme son père, sûrement. Où alors elle ouvrira un commerce où elle vendra exclusivement des bonbons à la carotte.

Age ? 20 ans
Où avez-vous connu le forum ? Uh ^^
Autre chose à dire ? Uhu